Les Druenne du Nouvion-en-Thiérache

Bienvenue sur la page des Druenne du Nouvion-en-Thiérache, dans l’Aisne (02). Dans le cadre d’une recherche généalogique de grande ampleur sur la famille Druesne, seront résumées ici les informations rassemblées au sujet de cette branche de Druesne. Si vous disposez d’informations à ce sujet, n’hésitez pas à me contacter.

Dernière mise à jour : Janvier 2020

Le Nouvion-en-Thiérache est l’un des rares foyers de la famille Druesne à se situer dans le département de l’Aisne, et non dans celui du Nord. Le Nouvion se trouve donc entouré de communes peu évocatrices pour la famille, à l’exception notable de Leschelle et Fontenelle.

Branche principale : la branche Druenne-Mollet

L’unique branche connue de la famille dont les origines se trouvent au Nouvion-en-Thiérache est issue de François Joseph Druenne (°env. 1694-1774) et Marie Agnès Mollet (°env. 1704-1764). Le couple, marié à Beaurain le 8 novembre 1763, eut au moins cinq enfants : Marie Françoise (°env. 1723-1797), Michel Joseph (°env. 1726), Marie Thérèse (°env. 1735-1760, ép. Jacques Joseph Wanecque), Marie Madeleine (°env. 1738-1816, ép. Joseph Ego) et Thomas Joseph Druenne (?-?, ép. Marie Anne Denis).

Descendance de la branche Druenne-Mollet du Nouvion-en-Thiérache

Certains généalogistes[1] font de François Joseph le fils d’André Druesne (°env. 1665, † av. 1753) et Elisabeth Dothel (°env. 1665, † 29 novembre 1753 à Vendegies-au-Bois). A ma connaissance, cette filiation n’est cependant pas prouvée. La même source fait même d’André Druesne le fils premier-né du couple Druesne-Dumont de Forest-en-Cambrésis, mais cette filiation, de même que bien d’autres présentées dans la même source, semble fantaisiste et peu étayée.

Faits et individus remarquables

Paternotte-Druenne, marchand de bois

Le jugement du 7 juillet 1875 du tribunal de Vervins établit une homologation de concordat en vue de relancer les affaires de la société « Paternotte-Druenne », présentée comme « marchand de bois et entrepreneur », ainsi que comme brasseur[2]. En janvier 1876, les biens de l’entreprise sont répartis[3]. Le 13 août 1878, le même tribunal résout ce concordat en raison de l’inexécution de ses conditions[4].

Le couple Paternotte-Druenne, marié le 26 août 1840 au Nouvion-en-Thiérache (Aisne), unissait Célestin Joseph Paternotte, né en 1817, et Catherine Désirée Druenne, née la même année au Nouvion-en-Thiérache. Elle était la fille de Jean Baptiste Druenne, né en 1795, et de Rosalie Azambre, née la même année. Cette famille compte parmi les descendants du couple Druenne-Brunot du Nouvion.

[1] Navez, « Marie Agnès NAVEZ ».

[2] Archives commerciales de la France, « Homologations de concordats », 663.

[3] Archives commerciales de la France, « Répartition », 45.

[4] Archives commerciales de la France, « Résolution de concordat pour inexécution des conditions », 1097.